L'armée comptait 12 000 à 25 000 hommes. Dans le Morbihan, le 14 mars, 4 000 paysans pénètrent dans Vannes, mais sont repoussés à coup de fusil par les soldats. L'armée des côtes de Brest, commandée par Lazare Hoche, basée alternativement à Rennes ou Vannes, contrôle le Finistère, le Morbihan, les Côtes-d'Armor, l'Ille-et-Vilaine, et la Mayenne. Malgré le désastre de Quiberon, les Chouans remportent plusieurs victoires dans les mois qui suivent mais les choses changent avec le changement de tactique opéré par Hoche au début de l'année 1796. La Virée de Galerne est à l'origine directe de la Chouannerie qui naît véritablement en décembre 1793[10],[11]. Ces contrebandiers se rangèrent alors naturellement parmi les ennemis de La République[3]. La dernière modification de cette page a été faite le 9 décembre 2020 à 00:35. Ces deux armées étaient chacune fortes de 8 000 hommes. Mais La Rouërie échappe aux recherches et se réfugie à Launay-Villiers. L'opération fut une déconvenue pour les autorités républicaines. Boisguy emprisonné, Charles Thierry de La Prévalaye lui succède en Ille-et-Vilaine. La charge menée par les frères Pinçon met rapidement en déroute les gardes nationaux qui abandonnent leur butin et laissent 18 morts sur le terrain[14]. Au total 50 000[32] à 70 000[33] Vendéens ont péri lors de la Virée de Galerne. Il est reconnu par l'administration avec son frère comme le chef de la coalition[n 1]. Mais les hommes de la première colonne, commandée par Lantivy du Rest et Jean Jan, se dispersent. Il utilise un vrai fait historique, le mouvement des chouans. De Silz est tué au combat et ses hommes se replient. Le 22 juillet 1792, l'Assemblée nationale législative ordonne une levée de 25 000 volontaires supplémentaires à prélever dans les départements ayant fourni de faibles effectifs et parmi lesquels se trouvait les Côtes-du-Nord. Les quatre Chouans se regardèrent en cherchant celui d'entre eux auquel ils pouvaient se fier pour l'envoyer déterrer la somme. Les chefs ne sont guère plus âgés que leurs hommes[36]. Dénoncé par son hôte, Pierre-Mathurin Mercier est tué le 21 janvier 1801 à La Motte par une patrouille républicaine. À Lannion, les insurgés envoient une déclaration: « Nous ne donnerons pas un soldat à la Nation. Nous ne connaissons que le roi et il est prisonnier en ce moment. Honoré De Balzac : Les Chouans Résumé Nous sommes fin septembre 1799, la révolte gronde à nouveau dans l’ouest de la France. Il n'y est guère mieux considéré que dans le Morbihan mais il conserve le commandement en chef grâce au soutien du comte d'Artois. En mars 1792, un premier combat oppose les habitants de Scrignac aux républicains venus de Morlaix. Les Vendéens ne s'en sortent guère mieux, et subissent de lourdes défaites à Saint-Jean-de-Monts le 4 juin et à Rocheservière le 20 juin où Louis du Vergier de La Rochejaquelein et Pierre Constant de Suzannet furent tués au combat. Boishardy, qui s'est rétracté, est tué dans la nuit du 17 au 18 juin entre Bréhand et Moncontour. Les 27 prisonniers sont jugés à Paris et 12 d'entre eux, dont Thérèse de Moëlien, sont condamnés à mort et guillotinés le 18 juin 1793. ». Les patriotes de La Roche-Bernard laissent les paysans entrer dans la ville à condition de ne pas commettre de pillages. Les membres de la famille Cottereau portaient ce surnom de « Chouan » (en gallo « chat-huant », ou « chouin », nom local de la chouette hulotte), selon les uns, parce que leur aïeul était naturellement triste et taciturne[A 1], selon d'autres, parce qu'en faisant la contrebande du sel, ils contrefaisaient le cri du chat-huant pour s'avertir et se reconnaître[réf. Arrivés dans la baie de Saint-Brieuc aucune flotte britannique ne paraît, les Chouans regagnent alors le Morbihan et proclament Georges Cadoudal comme étant leur général en chef. Plus au sud, 900 hommes sortis de Vannes reprennent Rochefort-en-Terre[8]. À Saint-Ouen-des-Toits, dans le district de Laval, Jean Cottereau, dit Jean Chouan, ancien faux-saunier, prend la tête des insurgés. Les Chouans : "Les Chouans" est un roman historique d’Honoré de Balzac publié en 1829. Sébastien de La Haye de Silz lui succède et est reconnu comme général. Cependant, doutant de la bonne foi des patriotes, les paysans attaquent la place, mais sont repoussés, deux insurgés sont tués, 14 autres capturés et guillotinés[22],[23]. Quelques chefs chouans reprennent les armes, le conflit s'étend désormais à la Normandie, jusqu'en Eure-et-Loir, avant de s'enliser[48]. Jean Chouan prend les armes le 15 août 1792 à Saint-Ouën-des-Toits pour s'opposer au recrutement des volontaires[2]. Scépeaux ne reprit pas les armes lors de la Chouannerie de 1799 et son armée se scinda en deux: l'armée catholique et royale du Maine sous les ordres de Louis de Ghaisne de Bourmont et l'armée catholique et royale du Bas-Anjou et de Haute-Bretagne commandée par Pierre Louis Godet de Châtillon, secondé par Louis d'Andigné. Par centaines, les bandes rejoignent les Vendéens, qui marchent vers le nord[8]. Progressivement les généraux chouans optent pour une suspension d'armes, La Prévalaye signe une trêve le 4 décembre, il est suivi le 10 par Cadoudal, puis Louis de Bourmont le 24 et Frotté le 26[56]. La mesure est très mal accueillie par les paysans et les premiers soulèvements éclatent dans le Trégor. En 1791, le marquis de La Rouërie, qui s'est distingué lors de la guerre d'indépendance américaine, crée, avec l'aval du comte d'Artois, une organisation clandestine, l'Association bretonne, qui rassemble par diocèse avec comme principaux objectifs la défense de la monarchie contre la progression du républicanisme, la conservation des propriétés et le rétablissement des lois et coutumes particulières de la Bretagne. Les principaux lieutenants de Cadoudal étaient les colonels: Pierre Guillemot, Jean Rohu, Pierre-Mathurin Mercier, dit La Vendée, Louis de Sol de Grisolles, Pierre Robinault de Saint-Régent, Jean Jan, Le Paige de Bar et César du Bouays. Spontanée, la rébellion couvre les Mauges, le Choletais, le bocage vendéen, le marais de Challans et le pays de Retz (toute une région du sud de la Loire qui prendra bientôt le nom de Vendée militaire). Vous avez emprisonné plusieurs de nos camarades, rendez-les-nous[12]. Dès 1791 Armand Tuffin de La Rouërie avait été officiellement reconnu comme chef des royalistes de Bretagne et d'une partie du Maine, mais sa mort prématurée en janvier 1793 l'empêcha de jouer un rôle dans la suite des événements. Des hommes aussi ineptes que froids ont voulu, depuis, lui substituer celui de Royalistes seul. Cadoudal est finalement condamné à mort, ainsi que 12 autres conjurés, et exécuté le 25 juin 1804. Ce rejet, on le retrouve dans l'ensemble du pays[5]. Cette version est donnée par Jacques Duchemin des Cepeaux, qui affirme tenir ce détail du dernier frère de Jean Chouan : « Le nom de famille de Jean Chouan était Cottereau ; le surnom de Chouan avait été donné à son grand-père parce qu'il était naturellement taciturne et triste, et que, dans les réunions, il se tenait toujours dans un coin à l'écart. Les Normands prennent la fuite, mais les Morlaisiens parviennent à repousser les insurgés. L'insurrection gagne l'Ille-et-Vilaine, le 17 mars un détachement de la garde nationale de Rennes est attaqué au pont de Pacé par 4 000 paysans des environs de Pacé. Bien que rares, on trouvait également quelques femmes parmi les combattants, l'une d'entre elles Mademoiselle du Rocher du Quengo, dite « Victoria Â» ou « Capitaine Victor Â» fut notamment capitaine dans la division de Bécherel, elle fut tuée à un combat aux Iffs en juillet 1795[41]. Mais le 10 avril, Napoléon ordonne la mobilisation des gardes nationaux et des anciens soldats mis en congés. Les deux commissaires sont tués, ainsi que trois gendarmes et 25 gardes nationaux. Génériquement appelés les « Vendéens » après la bataille de Pont-Charrault, les insurgés du sud de la Loire forment une « Armée catholique et royale » qui remporte plusieurs victoires contre les républicains mais qui finit par être écrasée en octobre 1793 à la bataille de Cholet[8]. Dès le 25 mars, des renforts affluent de Normandie et d'Île-de-France. Au sud de la Loire, la guerre de Vendée fait rage pendant plusieurs mois alors que le Nord semble globalement pacifié. Cadoudal échoue devant Vannes le 6 octobre, mais s'empare de Sarzeau, tandis que Mercier prend Saint-Brieuc. On le donna ensuite à tous les hommes qui se réunirent pour combattre sous les ordres de Jean, et enfin aux autres royalistes armés dans les provinces de l'Ouest[1]. Cependant la population et certains chefs, Boisguy et Le Gris-Duval notamment, sont las de la guerre et semblent peu disposés à reprendre les armes. Génériquement appelés les « Vendéens » après la bataille de Pont-Charrault, les insurgés du sud de la Loi… Les Chouans étaient les insurgés royalistes combattant au nord de la Loire, en Bretagne, Maine, Normandie et nord de l'Anjou, mais aussi dans des départements comme l'Aveyron et la Lozère, pendant les guerres de la chouannerie. Saint-Régeant est finalement capturé et guillotiné le 20 avril 1801. Mais la poursuite de la guerre ne donne aucun résultat. La paix est brisée le 26 août 1795 lorsque le général Lazare Hoche, qui a succédé en mai à Jean Antoine Rossignol à la tête de l'armée des côtes de Brest, ordonne l'arrestation des chefs ayant refusé de signer le traité de la Mabilais, Hoche est persuadé que Cormatin joue un double-jeu. Rendez-nous avec eux le libre exercice d'une religion qui fut celle de nos pères et pour le maintien de laquelle nous saurons verser jusqu'à la dernière goutte de notre sang.Rendez à nos campagnes ceux de ces dignes pasteurs que vous retenez dans vos murs, et permettez à ceux qui se sont exilés de revenir nous distribuer les consolations dont nous avons grand besoin; leur retour ramènera partout la paix, l'union, la concorde.Telles sont nos principales demandes. Le lendemain, 1 500 patriotes venus de Morlaix, Guingamp et des environs débloquent la ville et appliquent une répression dans les paroisses révoltées, 560 gardes nationaux sont envoyés à Tréguier permettant la reprise du tirage au sort et la levée du nombre nécessaire de soldats[13]. Pierre Guillemot pénètre dans Locminé et Sol de Grisolles prend La Roche-Bernard, tandis que Frotté est repoussé à Vire[54]. Cependant ces succès ne durent pas, les Chouans ne tiennent les villes que quelques jours ou quelques heures, se contentant de libérer les prisonniers et de brûler les papiers de l'administration. Après avoir écrit de nombreux romans sous différents pseudonymes, mais aussi sous son propre nom, c’est avec ce livre que Balzac deviendra célèbre. Pierre Louis Godet de Châtillon, secondé par Louis d'Andigné, prend la direction des territoires de la Loire-Inférieure et du Maine-et-Loire situés au nord du fleuve et dispose de 8 000 hommes sous ses ordres. Seules quelques petites bandes de Chouans irréductibles, continuent leur actions, mais ne s'attaquent plus guère aux troupes régulières et se livrent davantage à des assassinats de patriotes. C'est par exemple les chouanneries de. Cette mesure est très mal accueillie par la population et les Cent-Jours virent renaître une petite chouannerie. En mars 1793, la Bretagne, le Maine, l'Anjou et le Poitou sont touchés par une vaste insurrection paysanne contre la levée en masse . Louis de Frotté commande 10 000 hommes en Normandie, en particulier dans l'Orne et une partie de la Manche, du Calvados et même de la Mayenne. Protégés par les Chouans les prêtres réfractaires n'ont pas d'implication directe dans la guerre, un petit nombre siège dans les Conseils royalistes et s'occupent essentiellement des correspondances[43]. ». La révolte s'étend: le 12 mars, 5 000 paysans s'emparent de Savenay, ceux-ci tuent ou blessent plusieurs gendarmes et mettent en fuite la Garde nationale. L'opération échoue et tue 22 personnes, le rôle de Cadoudal dans cette affaire est soumis à controverses. En Bretagne, Normandie, Maine et Anjou, en 1796, au plus fort de la guerre, les Chouans comptent sur plus de 50 000 hommes dont 30 000 Bretons, soit 5 % de la population masculine des territoires insurgés[40]. Voir plus d'idées sur le thème révolution française, les chouans, vendée. Parfois, la fête tourne au massacre, comme à Machecoul ou à La Roche-Bernard[8]. Cependant à la suite de la chute de Robespierre le 28 juillet 1794 qui marque la fin de la Terreur, la Convention mène une politique de clémence, favorable aux négociations. Les combats prennent ainsi l'allure d'une guérilla, les Chouans par petits groupes de quelques dizaines ou centaines d'hommes tendent de multiples embuscades contre des détachements militaires, saisissent les courriers et les diligences transportant les fonds du gouvernement, attaquent des bourgs à population patriote ou occupés par l'armée républicaine, exécutent les dénonciateurs, les prêtres constitutionnels et des patriotes, en grande partie des administrateurs. Et par qui vouliez-vous donc qu'elles le fussent, êtres lâches et stupides? Deux jours après la monarchie est renversée et la République proclamée. Sans chercher plus avant, il imagine « chouan » un vigneron remarquable de lappellation (AOC). Commentaires sur J.E.P. L'armée royale de Rennes et de Fougères regroupait les divisions chouannes de l'Ille-et-Vilaine, sauf celle de Redon, plus les troupes des Côtes-d'Armor et quelques petites zones de la Mayenne et de la Normandie. Toutefois, ce synchronisme peut s'expliquer par la décision de la Convention d'imposer un calendrier précipité des opérations de levée d'hommes[8]. Les quelques Chouans qui prennent les armes sous les ordres de Louis de Bourmont, sont essentiellement des vétérans âgés, qui reprennent le combat par nostalgie, ou des jeunes voulant imiter leurs aïeux. Puis les mêmes insurgés marchent sur Rochefort-en-Terre, les 48 patriotes de la ville se rendent sous promesse de vie sauve, néanmoins trois d'entre eux sont lynchés par la foule[21]. Les femmes s'impliquent dans la guerre en cachant les prêtres et les blessés et en assurant une partie de la circulation des informations et l'approvisionnement[19]. La division la plus importante en hommes était celle de Fougères, aussi afin d'unifier le département Joseph de Puisaye nomma son commandant, Aimé Picquet du Boisguy, général de l'armée de Rennes et de Fougères. Le 10 mai, Cadoudal est reçu par le Comte d'Artois qui le nomme général en chef de l'armée catholique et royale de Bretagne avec le grade de Lieutenant-général[62] Dix jours plus tard, Cadoudal est reçu par William Pitt qui promet un débarquement de 30 000 soldats britanniques à Calais et en Bretagne, il s'engage en outre à faire débarquer 30 000 hommes de plus si l'armée catholique et royale de Bretagne parvient à lever 60 000 soldats[63]. Des bandes de paysans s'attaquent aux patriotes de leurs paroisses, qu'elles désarment et volent, puis envahissent le chef-lieu du district pour délivrer les hypothétiques prisonniers et détruire les listes servant au tirage au sort. D'Hervilly est mortellement blessé, Puisaye parvient à s'embarquer sur un navire britannique. L'ancien général en chef des chouans, Joseph de Puisaye, écrit dans ses mémoires : « Les Chouans étaient fiers de leur nom, car qui est-ce qui ignore que dans les révolutions, les injures des ennemis sont des titres de gloire. Les Chouans ou la Bretagne en 1799 est un roman de l'écrivain français Honoré de Balzac (1799-1850), publié pour la première fois en 1829 chez l'éditeur-libraire Urbain Canel. Le 14 septembre 1799, 200 chefs chouans et vendéens se réunissent au château de la Jonchère, près de Pouancé, défendu par 1 200 hommes et fixent une prise d'armes générale pour le 15 octobre. Mais Cadoudal rassemble 8 000 hommes et contre-attaque. Cependant son commandent n'est que nominal, sur ses territoires comme dans les autres départements, les chefs chouans n'exercent leurs commandements qu'à l'échelle de leur canton. Dès 1791, 80 % du clergé breton refuse de prêter le serment à la constitution civile du clergé[10]. Localement, chaque bande est demeurée sous le contrôle du chef qu'elle s'était donnée. Charette, traqué, est fait prisonnier le 23 mars avant d'être à son tour fusillé le 29 mars 1796 sa mort marque la fin de la guerre de Vendée. Georges Cadoudal, qui combat depuis plusieurs mois avec les Vendéens, part recruter des troupes dans son Morbihan natal. Puisaye regagne la Bretagne à l'automne 1795, mais il est arrêté par Pierre-Mathurin Mercier et conduit devant Cadoudal. [...] Il semblerait que ces mentions de sauvagerie féminine soient relativement rares malgré les violences que la soldatesque faisait immanquablement subir aux femmes des hameaux jugées suspectes et livrées à des représailles au lendemain d'une embuscade chouanne réussie », « les rôles sont clairement dévolus et les prêtres réfractaires n'ont pas à se mêler aux affrontements militaires. Le commandement est réorganisé, avec l'aval du comte d'Artois, Georges Cadoudal prend le commandement du Morbihan où il dispose de 18 000 hommes, puis du Finistère et des Côtes-du-Nord où il nomme respectivement Le Paige de Bar et Mercier à la tête de ces départements. Pour s'opposer au Chouans, les Républicains, commandés par le général Jean Antoine Rossignol commandant en chef de l'armée des côtes de Brest, construisent des forts ou fortifient les bourgs à population patriote défendues par des gardes territoriaux locaux. Le 5 février 1791, les paysans de la région d'Auray remettent aux autorités du district une pétition. D'après Christian Le Bouteiller, Emile Pautrel, Notions d'Histoire et d'archéologie pour la région de Fougères, L'auteur écrit une histoire général de la chouannerie, intégrant les chouanneries mayennaise, normande et bretonne et associant le soulèvement vendéen. Boulainvilliers commet l'imprudence de retourner quelques mois plus tard dans le Morbihan où il est capturé et fusillé par les hommes de Pierre Guillemot. Le 23 mars, dans les Côtes-du-Nord, 500 paysans des environs de Bréhand et de Moncontour se rassemblent et placent à leur tête le chevalier de Boishardy. Mais des coups de feu isolés sont lâchés par les assaillants auxquels répond un tir nourri de la part des gardes nationaux qui mettent en fuite les paysans après leur avoir tué plusieurs hommes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ces officiers sont Pierre Guillemot, Pierre-Mathurin Mercier, dit la Vendée, Pierre Robinault de Saint-Régeant, Jean François Edme Le Paige de Bar, le Comte de Cornouailles, Guimard Coettedreux, Guillaume Le Gris-Duval, Aimé Picquet du Boisguy et Joseph Picot de Limoëlan[64]. Finalement Cadoudal et Puisaye finissent par se réconcilier. Ce ne fut qu'en 1799, qu'une armée catholique et royale des Côtes-du-Nord fut à nouveau créée sous le commandement de Mercier, avec des chefs de secteurs emblématiques comme Pierre Taupin. Dans le Léon, au nord du Finistère, l'insurrection éclate le 18 mars à Plabennec, où les paysans attaquent les commissaires escortés par la garde nationale de Brest. Seul la division de Dinan s'était ralliée à l'Ille-et-Vilaine. Leurs esprits affûtés s’affrontentet ils se savent ennemis, mais leurs cœurs sont les plus forts et une tendreinclination les pousse l’un vers l’autre, au grand dam de celle qui accompagneM. Les prêtres font bien du mal. Les Chouans est un roman d’Honoré de Balzac publié en 1829 chez Urbain Canel.. Commencé à l’automne 1828 et presque terminé à Fougères, dans la maison du général Gilbert de Pommereul, qui fut l’hôte de Balzac et demeura toujours son ami, le roman eut d’abord pour titre Le Gars, puis Les Chouans ou la Bretagne il y a trente ans, avant de devenir provisoirement Le Dernier Chouan. La Chouannerie naît sur les limites du Mayenne et de l'Ille-et-Vilaine dans les environs de Fougères, Vitré et Laval[45]. les bandes forment de véritables armées (ponctuelles, parfois en uniformes qui attaquent de façon concertées dans des batailles classiques.

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